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Aurélie Foglia & Natacha Nikouline

Green feelings
Espace à la couleur close

17 €

20 x 25 cm
50 pages
200 grammes 
15 illustrations couleur pleine page 
Munken Pure Rough (150 g) et
Rives Tradition  Ivoire (250 g)

Edition numérotée et limitée

Septembre 2024

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Green feelings vient s'inscrire dans la « ligne verte » de l’œuvre d’Aurélie Foglia, après notamment Grand-Monde, où l’écriture allait jusqu'à frôler des formes d'hybridation, et Comment dépeindre qui faisait déjà dialoguer poésie et images (la peinture) après que la poétesse s’est mise à peindre les arbres à main nue. Ce nouveau recueil explore la verté du vert, non pas comme concept, mais comme émotion. Plus ample que précédemment, levers devient une rivière. Mais loin de chanter les charmes bucoliques ou de favoriser un vieux rêve de fusion, il cherche l'ombre et le vestige. En écho aux photographies, il porte un deuil obscur, charriant l'inquiétude du regard devant une nature mise à mal, morcelée, où l'unité s'est perdue.

 

Photographe attachée à la déclaration d’intention de « photographier les yeux fermés», Natacha Nikouline ne perd pas de vue que l’acte photographique doit « traduire au plus près les rêves et les littératures intimes ». Elle n’hésite pas à dynamiser et dynamiter plusieurs genres et thèmes pour les pousser hors de leurs zones ordinaires de circonscription. Dans ses natures mortes, le genre est envisagé sous un angle expressionniste en dialogue avec l’École flamande. Son œuvre est une conversation entre l’histoire intime et l’histoire collective. L’amitié à quatre mains à laquelle leurs deux voies, de la voix et du voir, convient le regard et la lecture nous engage dans une rencontre exceptionnelle avec le végétal et le féminin.

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Aurélie Foglia
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Natacha Nikouline

« Sous forme d’écorces, de feuillages, d’herbes, de mousses, mais aussi bien d’humus, de terre, de racines ou de pierres, la « verté » (p. 32) s’éprouve comme sève intime, comme substance active de conversion sanguine, et parfois sanguinaire, entre le corps féminin et le corps-vert. Cette « verté » n’est pas que décor, elle agit à la manière d’un bain révélateur, à condition d’y laisser sa peau, de l’y (in)visibliser, en toute transparence et en toute opacité. » (Lydie Cavelier, Sitaudis)

https://www.sitaudis.fr/Parutions/aurelie-foglia-natacha-nikouline-green-feelings-espace-a-la-couleur-close-1733587980.php

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